RCSA-Honnelles 1-5
Aulnois est retombé dans ses travers !
Pire encore, les frontaliers se déplaçaient dans les Haut-Pays avec un nombre juste suffisant de joueur pour compléter la première partie de la feuille de match. Avant même le coup d'envoi, ce match sentait déjà le roussi
Une pelouse détrempée
A Rio de Janeiro, il y a le Maracaña, et à Honnelles, la mare à canards ! L'officiel s'en allait inspecter l'état du terrain avant d'aller se changer, signe d'une éventuelle remise du match. Mais après observation, il décidait de maintenir la rencontre.
Les premières minutes voyaient d'ailleurs les joueurs tenter de trouver leurs marques sans devoir trop souvent se vautrer dans la boue. Les meilleurs équilibristes étaient sang et or, tandis que nos tricolores cherchaient désespérement le moyen d'allier (et d'aligner) passes et maintien.
L'importance de rester vigileant
n'est plus à prouver. Après une bonne dizaine de minute, Englebert qui était aligné dans le champs (si je puis dire) était aggripé bien sournoisement par son vis-à-vis. Sa protestation était sanctionnée par le referee, et sur le coup franc vite joué sur l'aile droite, un centre allait trouver une tête jaune et rouge qui allait heurter le montant droit de Vleurich, avant d'entrer dans le but, pour le 0-1.
A cause d'un hors-jeu, à la trente-huitième minute de jeu. Joël Leclercq partait planter son but, lorsque l'arbitre sifflait la position d'Englebert. Cette remise à zéro des compteurs aurait bien pu changer la donne, car, malgré la main-mise de Honelles, chaque coup de poker aurait pu bouleverser à jamais la physionomie de la rencontre.
A part deux chaudes alertes de chaque côté, nos vaillants braves s'en allaient rentrer aux vestiaires, passé les 45 premières minutes, alors que la pluie et le vent se faisaient de plus en plus présents.
45 minutes de dépit
A peine quelques minutes après le retour des nos compagnons, et voilà, le 2-0 qui tombait, encore sur une erreur de défense, laissant Vleurich seul devant un opposant qui n'avait pas trop de mal a le dribbler pour inscrire le goal. Peu après, un joueur de Honnelles s'en allait faire un tout-droit balle au pied dans notre terrain, et après avoir passé quatres bonhommes, manquait de lucidité dans le geste final. Tant mieux !
Un espoir de courte durée
Aulnois, par intermitence, pointait le bout de son nez.
Et c'est encore sur une combinaison des deux frères, et sur coup-franc, que l'aîné allait trouver le cadet pour une tête rageuse, s'en allant tromper l'irréprochable gardien des homes. 1-2 et une bonne bourrasque d'air frais. Mais à peine le ballon remis en jeu et l'ailier gauche adverse effectuait un centre-tir à ras de sol. Celui-ci heurtait la jambe de Honoré, et c'était l'auto-goal. 3-1 ... Déconfits, Aulnois se contentait de relancer devant sans trop d'espoir, à part Izzi et Leclercq, qui allait de leur mordant exhorter les leurs à plus de détermination.
Un quatrième et cinquième but
Inscrit dans le chaos général. Bourdon, placé comme arrière droit, ne parvenait pas à se défaire d'un rival, et commetait une faute à deux mètre cinquante de la surface de réparation, sur le flanc droit de notre défense. Le coup de réparation était tiré directement, et Vleurich glissait au moment de dévier ce ballon. Il ne pouvait plus rien faire, si ce n'est rechercher le ballon dans ces filets. Et c'est 4-1. Le cinquième et dernier but des hôtes s'en venait à dix minutes du terme, un joueur laissé seul, allait tenter une volée à douze mètres des cages. Il dévissait quelque peu, mais le cuir touchait la base du montant avant de glisser sous Vleurich. 5-1.
Une fin de match salvatrice
Car le temps était de plus en plus mauvais. Tout le monde s'en allait prendre sa douche, et les supporters analyser la partie bien au chaud, la bière en main. Les objectifs du second tour étaient sur les lèvres des plus fins observateurs, et les mesures d'urgences énoncées l'une après l'autre.
Frédéric Izzi est de ces joueurs qui ne fait pas de vagues. Quelque soit le système mis en place, il entend faire de son mieux et donner tout ce qu'il a pour le bien de l'équipe. C'est un garçon discret que l'on oublie bien souvent de citer, malgré son indéniable potentiel technique. Il a bien mérité ce dimanche le titre de joueur aulnoisien du match, car son travail en milieu de terrain nous a apporté beaucoup.
Pire encore, les frontaliers se déplaçaient dans les Haut-Pays avec un nombre juste suffisant de joueur pour compléter la première partie de la feuille de match. Avant même le coup d'envoi, ce match sentait déjà le roussi
Une pelouse détrempée
A Rio de Janeiro, il y a le Maracaña, et à Honnelles, la mare à canards ! L'officiel s'en allait inspecter l'état du terrain avant d'aller se changer, signe d'une éventuelle remise du match. Mais après observation, il décidait de maintenir la rencontre.
Les premières minutes voyaient d'ailleurs les joueurs tenter de trouver leurs marques sans devoir trop souvent se vautrer dans la boue. Les meilleurs équilibristes étaient sang et or, tandis que nos tricolores cherchaient désespérement le moyen d'allier (et d'aligner) passes et maintien.
L'importance de rester vigileant
n'est plus à prouver. Après une bonne dizaine de minute, Englebert qui était aligné dans le champs (si je puis dire) était aggripé bien sournoisement par son vis-à-vis. Sa protestation était sanctionnée par le referee, et sur le coup franc vite joué sur l'aile droite, un centre allait trouver une tête jaune et rouge qui allait heurter le montant droit de Vleurich, avant d'entrer dans le but, pour le 0-1.
A cause d'un hors-jeu, à la trente-huitième minute de jeu. Joël Leclercq partait planter son but, lorsque l'arbitre sifflait la position d'Englebert. Cette remise à zéro des compteurs aurait bien pu changer la donne, car, malgré la main-mise de Honelles, chaque coup de poker aurait pu bouleverser à jamais la physionomie de la rencontre.
A part deux chaudes alertes de chaque côté, nos vaillants braves s'en allaient rentrer aux vestiaires, passé les 45 premières minutes, alors que la pluie et le vent se faisaient de plus en plus présents.
45 minutes de dépit
A peine quelques minutes après le retour des nos compagnons, et voilà, le 2-0 qui tombait, encore sur une erreur de défense, laissant Vleurich seul devant un opposant qui n'avait pas trop de mal a le dribbler pour inscrire le goal. Peu après, un joueur de Honnelles s'en allait faire un tout-droit balle au pied dans notre terrain, et après avoir passé quatres bonhommes, manquait de lucidité dans le geste final. Tant mieux !
Un espoir de courte durée
Aulnois, par intermitence, pointait le bout de son nez.
Et c'est encore sur une combinaison des deux frères, et sur coup-franc, que l'aîné allait trouver le cadet pour une tête rageuse, s'en allant tromper l'irréprochable gardien des homes. 1-2 et une bonne bourrasque d'air frais. Mais à peine le ballon remis en jeu et l'ailier gauche adverse effectuait un centre-tir à ras de sol. Celui-ci heurtait la jambe de Honoré, et c'était l'auto-goal. 3-1 ... Déconfits, Aulnois se contentait de relancer devant sans trop d'espoir, à part Izzi et Leclercq, qui allait de leur mordant exhorter les leurs à plus de détermination.Un quatrième et cinquième but
Inscrit dans le chaos général. Bourdon, placé comme arrière droit, ne parvenait pas à se défaire d'un rival, et commetait une faute à deux mètre cinquante de la surface de réparation, sur le flanc droit de notre défense. Le coup de réparation était tiré directement, et Vleurich glissait au moment de dévier ce ballon. Il ne pouvait plus rien faire, si ce n'est rechercher le ballon dans ces filets. Et c'est 4-1. Le cinquième et dernier but des hôtes s'en venait à dix minutes du terme, un joueur laissé seul, allait tenter une volée à douze mètres des cages. Il dévissait quelque peu, mais le cuir touchait la base du montant avant de glisser sous Vleurich. 5-1.
Une fin de match salvatrice
Car le temps était de plus en plus mauvais. Tout le monde s'en allait prendre sa douche, et les supporters analyser la partie bien au chaud, la bière en main. Les objectifs du second tour étaient sur les lèvres des plus fins observateurs, et les mesures d'urgences énoncées l'une après l'autre.
Frédéric Izzi est de ces joueurs qui ne fait pas de vagues. Quelque soit le système mis en place, il entend faire de son mieux et donner tout ce qu'il a pour le bien de l'équipe. C'est un garçon discret que l'on oublie bien souvent de citer, malgré son indéniable potentiel technique. Il a bien mérité ce dimanche le titre de joueur aulnoisien du match, car son travail en milieu de terrain nous a apporté beaucoup.